Il y a quelques mois, j’ai acheté le Mytale d’Ayerdhal. Par curiosité pour le bonhomme, mais aussi par défaut. Parce que je n’avais pas trouvé le livre que je cherchais à l’origine, à savoir ce chef d’œuvre qu’Etoiles Mourantes était censé être. Après lecture des deux ouvrages et repérage de quelques constantes chez Ayerdhal (personnages féminins au caractère bien trempé, arcanes et intrigues politiques dans tous les sens, long crescendo vers une fin apocalyptique, humanisme et tolérance), je n’accroche toujours qu’à moitié.